RETROUVEZ LES MOTS DE GILLOU
ESCAPADE EN CORSE : Janvier 2021
Ci-contre les deux liens des 2 albums photos. : https://photos.app.goo.gl/abXseBS6qEnE3Gb9A https://photos.app.goo.gl/xwou2vgdyDyeM36r8
Départ de Bastia, de nuit.
Cap Corse : descente à l’extrême nord de la Corse à Tollare, Barcaggio. Petit arrêt au Moulin Mattei, descente à Centuri, visite du village et du port. Le jour se lève
Départ côté ouest du Cap vers Saint Florent. Arrêt devant les chèvres. Notre route est complètement barrée par un gros éboulement. Nous sommes obligés de monter au village de Canari pour contourner.
Pas d’arrêt à Nonza que nous connaissons très bien.
Nous traversons les vignobles avant d’arriver à Saint Florent. Visite de la vieille ville, cité génoise et la fontaine qui crache l’eau par des grenouilles. Nous dormons ici.
Plus de pluie, peu de nuages.
Départ de Saint Florent, nous traversons le désert des Agriates qui n’est pas un désert de sable fait de roches et de maquis. Coup d’oeil à hauteur de la plage d’Ostriconi.
Arrêt à la plage de Losari que j’aimais beaucoup.
Ile Rousse : Nous traversons le centre ville par la Place Paoli jusqu’au port. Grimpette au phare, à la descente jetons un coup d’oeil à la tour génoise. Nous avons une vue magnifique : la mer, les plages, la montagne et le village Monticello.
Passons par le village d’Aregno dont une église a la particularité d’avoir des statuettes dont l’une est un homme assis qui tient son pied gauche par ses deux mains. Montons au village San Antonino, un des plus beaux villages de France. Nous grimpons encore pour accéder au sommet qui permet de voir la mer, la montagne et la plaine.
Arrêt à Calvi pour dormir. Le lendemain, visitons la citadelle, puis le port et le vieux village.
Départ pour Piana par le col de la Palmarella, suivi par le col de la Croix où nous nous arrêtons pour admirer le golfe de Girolata , puis le Golfe de Porto qui permet une vue mer et montagne jusqu’à Porto et Piana.
Arrivés à PIANA à 12 Kms au dessus de Porto et du golfe. Nous partons photographier les Calanches (prononcé Calanques par un Corse de Piana) : aiguilles, roches de porphyre rouge. Nous profitons de l’absence de touristes.
Le lendemain nous descendons à Porto : Une route sans issue permet de descendre de la D81 à la Tour génoise qui domine la mer agitée, puis nous empruntons un pont pour piétons afin d’aborder le port et la plage de petits galets. Des travaux ont changé l’aspect, je pense que les baigneurs seront mécontents.
Nous prenons la D84 pour nous rendre à Corte via le village d’Evisa. Des cochons ne se gênent pas de faire la sieste carrément au milieu de la route ensoleillée. Plus loin, la neige change complètement les montagnes, gorges de Salto et de Vergio. Puis descente à Calacuccia où nous pique-niquons.
Arrivée à Corte, nous trouvons où dormir presque à côté de la Citadelle. Le lendemain nous grimpons au point de vue qui nous permet un panorama à 360 °.
Après avoir sillonné la ville nous empruntons la route territoriale 50 qui nous mène à Aleria.
Impossible de visiter le site archéologique, fermé.
Nous trouvons un appart hôtel à Santa Lucia de Moriani, près de Moriani plage. A midi nous pique-niquons au bord de la plage avec table et chaises d’un restaurant fermé.
Le départ à Bastia étant prévu vers 18h00, nous avons le temps de faire le tour de l’étang de Biguglia, long de 11 kms et large de 2 à 3 Kms.
Au sud de la lagune se trouve un petit site archéologique pas terrible, à portée d’une église en pierre.
C’est l’heure de nous ranger au port de Bastia
AUSTRALIE – TASMANIE
Pour tout vous dire, je suis un nostalgique permanent. Je fouine sur mes disques durs pour vous trouver des photos anciennes de courses à pied , je tombe sur celles de voyages, de plus je reçois des e-mails du syndicat du tourisme d’Australie, des loueurs de vans avec de jolies vidéos. Un jour j’ai pris le bateau » Spirit of Tasmania » à Melbourne pour aller en Tasmanie. Débarqué à Devonport de bonne heure, sans avoir consulté le » Lonely planet », avec mon » Van » j’ai longé le Détroit de Bass en direction du Nord. Etant un curieux permanent, j’ai eu la chance de ‘’ tomber ‘’ sur des cultures de tulipes, bonne occasion de m’arrêter un long moment.
Ensuite je suis arrivé à Burnie, jolie ville qui organisait une course à pied de 10 Kms. Un peu tard pour y participer, mais j’ai tout vu.
Ensuite, je suis arrivé au paradis, la petite ville Stanley ,’’ The Nut ‘’, un rocher énorme qui surplombe une gigantesque baie. Le camping est au pied de ces beautés.
Vous trouverez 3 liens pour ces deux jours de photos un peu mélangées par Google.
https://photos.app.goo.gl/z9sspEWkizKwk7dv9
https://photos.app.goo.gl/wywZT8YzB1uTRAD39
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Chemin de Stevenson du 18 au 21 Septembre


la Loire
2ème étape de Monastier sur Gazeille à Bouchet Saint Nicolas
Lever à 7h00, petit dej royal. Le propriétaire a insisté pour m’accompagner en voiture au départ en traversant le village.







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Nostalgie des voyages 17 Avril 2018 (LA SUITE PLUS BAS)
La nostalgie je connais, ça te prend aux tripes (on devrait dire au plexus solaire) en révant, mais le pire c’est quand tu parcours des photos, alors là, tu rêves éveillé.
Mon premier vrai voyage, je l’ai fait avec mon fils cadet aux U.S.A. : 1 mois pile, 2 jours de visite dans Manhattan à New York, Déjà là au bout de la 5ème avenue nous aboutissons au Washington Square Park, une quadragénaire, blue jean, chemisier blanc, joue toute seule aux boules (pétanque) je l’interpelle, elle me dit qu’elle est Présidente d’un club féminin de pétanque et qu’elle attend ses amies. Elle me propose de jouer. Je finis la partie par un ‘’ carreau ‘’ (très involontaire) digne d’un champion du monde. Bin oui les Français on n’est pas des cons.
Ensuite, 14 parcs naturels de l’Ouest. Location d’une voiture, dormir tous les jours sous une très petite tente, se faire à manger en plein air, randonnées en veux tu en voilà. Deux fois 1 jour en passant à Las Vegas. Quand tu reviens, tu as les yeux qui brillent, tu as chopé le virus.
Puis enchaînement, Martinique, Guadeloupe, Seychelles, Ile Maurice et mes premiers grands voyages avec Michel. Re-Guadeloupe 20 jours pour tester notre aptitude à nous supporter, 10/10. Location d’un bungalow, location d’une voiture, visite de la Désirade, les Saintes, location de scooter des mers presque un jour pour visiter des îlots éloignés. Le soleil, les plages de sable, l’eau chaude, manger du poisson, des accras, du boudin qui t’emporte la ‘’ gueule ‘’. Le punch, le planteur qui te saoule sans t’en rendre compte. Quel souvenir ! ! !
Peu de temps après notre retour Michel me demande : ‘’ Tu vas voyager encore ? Tu vas où ? Bin où tu veux, on va en Thaïlande ? 2 mois ? D’accord ! On a les yeux qui brillent déjà, le cerveau qui bout.
Pas d’agence de voyage, une carte, le Routard bible du voyageur, et de la documentation demandée à l’Ambassade à Paris. Le Visa au Consulat à Monaco. Très fainéants, un peu trop de ‘ doc ‘, finalement nous décidons de regarder tout ça dans l’avion, 6 heures pour aller à Dubaï avec Emirates, puis encore 6 pour Bangkok. Finalement on n’a rien étudié, on a joué au poker.
Bangkok à lui tout seul ce nom te fait rêver.
Nous découvrons le quartier dit ‘’ Khao san road ‘’, très connu des touristes, avec toutes ses boutiques, les touk touk, les charrettes qui vous permettent de manger vraiment pas cher, debout ou assis sur le bord du trottoir.
Le ‘’ ROI ‘ (décédé en 2016) est vénéré. Une simple critique vous emmène en prison.
N’ayant rien prévu, nous consultons la carte du pays. 3 options depuis Bangkok, le Nord, l’est et le sud. Nous optons pour le sud jusqu’en Malaisie mais dans un éclair de lucidité, je coupe en deux la descente en train, nous ferons connaissance de Prachuap Khiri Khan qui s’écrit au moins 5 fois différemment en caractères du genre européens et une seule manière, je pense, en caractères Thaï
Notre tenue sera short, t-shirt, baskets.
Contrairement à ce que certains croient, les routards ne passent pas la journée avec le sac sur le dos, on n’est pas des boeufs sans cervelle.
Nous adorons le nom de cette petite ville, en la surplombant depuis la colline au temple et singes, nous constatons qu’il y a une baie de 6 Kms (je l’ai mesurée au cours d’un autre voyage pour faire mon entraînement pédestre). La nuit, de nombreux bateaux de pêcheurs laissent une lumière verte allumée comme pour fermer la baie et encercler les poissons.
La première location de scooter, que j’appellerai toujours le Nescoter (80 ou 100 cm3) se fera ici. C’est une décision très importante que nous renouvellerons chaque fois que ce sera possible. Ce sera le meilleur moyen de visiter, patrouiller, fouiner, découvrir dans le détail, suivant nos infos ou nos envies. Michel sera le conducteur car je m’étais fait opérer du ménisque droit quelques jours avant, et j’ai enlevé moi-même les points de suture à l’arrivée à Bangkok.
Je finirai ce récit par une anecdote. Alors que nous roulions à une dizaine de kms au sud de Prachuap, en bord d’une plage immense, en pleine campagne, j’ai vu dépasser au dessus des arbres une tête semblant être celle d’un Dinosaure. Ho P . . . ! C’est quoi ce truc ? On rêve ? ? ? Rapidement nous nous rendons sur les lieux. Des animaux préhistoriques étaient là, tranquilles, figés à proximité d’installations que nous pourrons dire scientifiques. Personne d’autre que nous deux, pas de porte, pas de barrière. Nous avons pris des photos pour immortaliser cet endroit.
SUITE DE NOSTALGIE DES VOYAGES 30 JUIN 2018
A Koh Tao, Jean Robert Edouard nous fait faire le tour de l’île avec le sourire







Je certifie que rien n’est inventé, exagéré, déformé, que du vrai, que du bonheur ! ! !
A suivre
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11 Janvier2018 :
Réflexions, méditation, supputation et poésie sur le temps dans le sud-est.
J’étais devant la fenêtre de la cuisine en train de faire la vaisselle (vous vous en foutez) et je regardais le ciel bleu qui couvrait la colline de Gairaut ensoleillée.(autopoésie)
– quand il fait beau depuis trop longtemps : ouf y’en a marre, faudrait qu’il pleuve (un peu)
– premier jour de pluie : Ha ça fait du bien, j’en pouvais plus, c’est bon pour la terre
– deuxième jour de pluie : Hé ça pleut encore, depuis deux jours déjà. On est trempé de partout quand on sort
– (si) il pleut un troisième jour : ça commence à faire caguer. On peut plus sortir, tout est mouillé et le linge ne sèche pas
– il pleut très rarement un quatrième jour : faut faire quelque chose. Le temps est complètement détraqué ! C’est grave et le gouvernement ? Il ne fait rien ! Pffff ! ! !
– le retour du soleil : hé bin, on en a bavé pendant presque 15 jours, ça fait du bien ! Je déteste la pluie, ou alors juste une fois quand il pleut la nuit.
J’irai m’entraîner tout à l’heure sur cette colline magique et m’abreuver à la fontaine de l’aire St Michel tout en méditant (fermez le ban).
2 janvier 2018
Voici ma réponse au Bilan de Coralie PRESIER paru dans la dernière foulée internet. Cette réponse n’engage que moi.
Je suis Gilles APPOURCHAUX, 76.5 années au compteur, plus de 40 ans d’emplois de diverses natures. Toujours impliqué dans la vie sociale, politique, sportive. 869 courses à pied, marathon, triathlons, duathlons. Tout cela s’appelle l’expérience.